background: transparent; border: 0px; font-style: normal; outline: 0px;">Le développement industriel a donné lieu à la création d'une paroisse et, en 1863, à la construction d'une église et celle d'un presbytère en 1870.

L'urbanisation de Sous-le-Bois a fait naître la longue rue de Douzies qui devient une liaison stratégique entre les deux pôles industriels. En 1926, Douzies compte 268 maisons pour 1 597 personnes.

background: transparent; border: 0px; font-style: normal; outline: 0px;">Les principales industries de son histoire sont les sociétés Vermot, Valère, Mabille et Pelgrims qui fabriquaient des pièces pour automobile et chemin de fer. Il y avait aussi la SA Fonderies de Douzies qui employait en 1914 120 ouvriers. Les Aciéries du nord comprenaient une fonderie à Douzies et une fabrique de moteurs diesel et de tracteurs, route de Valenciennes et qui employait 380 personnes en 1947. D'autres entreprises étaient aussi présentes, comme la Fabrique de produits céramique (qui deviendra par la suite les Carrelages de Douzies), la SA des Travaux en fer et les Forges Emile-Foulard qui travaillaient pour la marine et les chemins de fer (et qui avait aussi pour spécialité le fer à cheval antidérapant) Aujourd'hui, des zones industrielles du Champ de l'Abbesse et de la Petite-Savate ont pris le relais et comptent 36 entreprises, sans oublier le CRITT (centre de recherches sur les céramiques et les instituts universitaires du Hainaut-Cambrésis, dont l'école d'ingénieurs).

C'est dans les années 1960 que la ville connaît sa plus forte poussée démographique permettant la construction, rue du Pont-de-Pierre, des appartements le Louvois et le Colbert pour cent cinq logements. 155 autres logements seront construits dans le « nouveau Douzies », rue des Ormes et des Hêtres. Les 38 logements de la Couturelle seront construits en 1983 tandis que le Foyer des anciens rue Victor-Hugo verra le jour en 1985. •