L'école maternelle face au Zoo avenue Roosevelt

Le Lycée Pierre Forest année 1961

La voie express reliant n'existe pas encore.

Mais le refuge est encore là en bas à gauche

Aujourd'hui le Lycée Notre Dame de Grace

Elle était située place du marché aux chevaux à coté de la Porte de Mons

Le Petit Bois est devenu aujourd'hui le ZOO. Mais que de Maubeugeois s'y sont promenés !

Pour bien situé cette photo regardez en Haut et à gauche on aperçois le Moulin Tablette.

Voilà un chalet fort accueillant pour les touristes venus visiter la ville de Maubeuge !

Il était situé près du Zoo et à l'entrée de l'avenue Roosevelt

Ce pin's rappelle une chanson qui à rendu Célèbre Maubeuge.

Celui ci nous indique que cette chanson à fait couler beaucoup d'encre.

Ce pin's se souvient qu'il fut un temps où la Police se trouvait à la porte de Mons

La Voix du Nord Fait partie du patrimoine culturelle de Maubeuge.

Description:

Localisation à l’origine : Maubeuge, entrée de l’école communale (Nord)

Informations :

• Sculpteur 1: BERTRAND-BOUTÉE

Ecole du centre dans les années 60 et même bien avant était constituées d’une école primaire pour les garçons ainsi que le cours complémentaire qui allait de la  6^ième à la 3 ième.

Elle était située le lycée générale, qui deviendra plus tard le Collège Coutelle et la Banque de France rue  en haut de la Grande Grimpette. La grille métallique d’origine bleu gris en ferme encore l’accès.

Cours Complémentaire dont les fournitures scolaires étaient gratuites permettant ainsi l’accessibilité aux élèves boursiers.

Le Cours complémentaire devint Le Collège Guillaume Budé ,implanté d’abord dans les anciens bâtiments du de l’école Pratique, route de Mons.

Aujourd’ui dans un ensemble neuf près de la cité scolaire Pierre Forest.

La Pisselotte est un petit affluent de la Sambre qui prend sa source à deux kilomètres au nord de Maubeuge au lieu-dit le Bois Brulé, à la fontaine d’Amour. Il traverse une partie de la ville à ciel ouvert puis en souterrain jusqu’à son confluent à l’Arsenal.

Le débit régulier mais faible de la Pisselotte a fait fonctionner un moulin à eau à farine. Il a failli actionner un moulin à eau à écorce dont le projet fut refusé en 1812 par le Ministère de l’Intérieur. En bifurquant en deux branches en aval du moulin à farine, il a vu ériger deux brasseries sur chacune de ces bifurcations. (Brasserie Melle Elisabeth Roumier et Brasserie François Toussaint en 1811)

Revenons-en au moulin à farine.

Appelé Grand Moulin ou moulin de la Pisselotte, il appartenait très probablement au Chapitre Sainte-Aldegonde avant 1789. Il avait trois tournants et fut adjugé en 1791 à Guislain Bertau. Il devait comme celui situé sur la Sambre, que possédait également G Bertau, « moudre en outre 150 brais pour faire de la Bierre pour les hôpitaux et les habitants ». En 1833 Marie Adrienne Mercier veuve de Guislain Bertau et son fils Philippe, meunier, réclamèrent des indemnités suite au chômage de leur moulin alors à deux roues, chômage provoqué par les travaux de fortifications. Il fut acheté par le meunier Edouard Bayart vers 1856. Il avait « deux paires de meules, employé aux moutures de cinq brasseries, aux moutures de la cavalerie, à la mouture de l’épeautre et des greniers de commerce ». Les deux roues situées à la suite l’une de l’autre mesuraient 1,56 m de diamètre pour celle en amont et 1,61 m de diamètre pour celle en aval. Edouard Bayart décéda le 6 février 1871 et le moulin fut acheté en 1877 par Ernest Lenclud et transformé en brasserie.