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mes arrières grands parents ont tenu cet estaminet en 1922 1923. je ne connais pas maubeuge, je suis ravie de
Par Anonyme, le 26.10.2025
aujourd'hui le o'tacos
http://maubeug eancien.center blog.net
Par maubeugeancien, le 09.10.2025
c'est le monkey factory http://maubeug eancien.center blog.net
Par maubeugeancien, le 09.10.2025
pouvez-vous m'indiquer quel était le nom du café qui a remplacé ce restaurant ? merci
Par Anonyme, le 05.10.2025
mr paillot a été torturé par les nazis à maubeuge dans le petit bois durant la seconde guerre mondiale
Par Anonyme, le 20.07.2025
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Date de création : 05.07.2018
Dernière mise à jour :
28.08.2025
468 articles
L'ancienne chapelle des Jésuites, construite en 1620-1625, pillée à la Révolution est rebaptisée "Salle Sthrau" du nom du petit tambour alsacien, mort à Dourlers le 15 octobre 1793 lors de la bataille de Wattignies.
Réutilisée au 19e siècle en bibliothèque, elle fut détruite pendant la Première Guerre mondiale. La ville décida de reconstruire une salle des fêtes dans cette enveloppe de pierre dont il ne reste que la façade. Les travaux furent achevés en 1927. Les architectes maubeugeois Jean et Henri Lafitte créèrent deux niveaux, avec la salle de musique au rez-de-chaussée et la salle de bal à l'étage. Un escalier monumental dessert le foyer et l'étage. Les rampes d’escalier sont riches d’un décor en ferronnerie où l’on aperçoit entre autres les masques de la Tragédie et de la Comédie.
L'édifice a échappé miraculeusement à la destruction de la ville de Maubeuge pendant la dernière guerre et constitue un exemple unique de l'expression de l'Art-déco.
Le mur du fond, voûté en cul-de-four, n’est autre que l’abside de la chapelle originelle. Des fresques sur les parois intérieures illustrent quant à elles l’épisode historique local de la fête de la libération de Maubeuge le 23 février 1749 et la fête du cortège Jean Mabuse.
Le seul élément qui marque l’intervention des architectes à l’extérieur du bâtiment est le traitement du décor en fer forgé de la porte d’entrée.
Une verrière posée sur le toit en 2003 permet désormais un éclairage direct. La façade a été inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1958 et la salle en 1997. (rue Georges-Paillot)
Intérieur Salle Sthrau

La banque de France existe toujours elle est située à coté de la Grande Grimpette rue payot.
En face d'elle était située la poste aujourd'hui le Crédit du Nord.
Personnel Banque de France 1937

L'enclos du chapitre de Sainte Aldegonde s'étendait sur une grande partie de la ville, il renfermait de nombreux bâtiments et était primitivement limité par une forte muraille crénelée qui disparut par suite de divers incendies. Les habitations qui en dépendaient datent du XVIIe siècle et n'ont subi extérieurement presqu' aucune modification. Renfermait également une petite église nommée Vieux-Moustier, remontant à une haute antiquité et qui fut démolie, en 1751, et l'église collégiale de Sainte Aldegonde, consacrée en 661. Brûlée en 1387 et 1478, elle fut rebâtie de 1480 à 1511, dans le style de transition du gothique à la renaissance. On y comptait huit chapelles richement ornées. C'était le lieu de sépulture des abbesses. Pillée pendant la révolution, elle fut convertie en ambulance, en dépôt d'artillerie, et démolie en 1802.
Dans les années 1980, une partie du chapitre accueillait une clinique et un musée. Les bâtiments, classés Monuments Historiques depuis 1941, abritent désormais le lycée Notre-Dame de Grâce.
M . LECLUYSE lasambre.fr/article/16/09/2009
C'est avec beaucoup de tristesse que les Maubeugeois ont appris cette semaine le décès de Camille Lecluyse, qui s'est éteint samedi 12 septembre, à l'âge de 92 ans.
L'émotion était palpable ce mercredi 16, en l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Maubeuge, où plus de 120 personnes étaient venues dire un dernier "au revoir" à Camille Lecluyse, décédé samedi 12 septembre au soir, à l'âge de 92 ans. La cité de Mabuse pleure aujourd'hui la disparition d'«une figure locale exceptionnelle », selon les mots de Jacqueline Bard, 1ere adjointe au maire.
Car Camille Lecluyse, c'était un nom bien connu à Maubeuge. Celui d'une boulangerie- pâtisserie tout d'abord. Les établissements Lecluyse, situés place des Nations et surtout sur l'Avenue de France, tous deux disparus depuis, étaient fréquentés par plusieurs générations de Maubeugeois.
Camille y était entré comme artisan boulanger-pâtissier, à l'âge de 17 ans, en 1934, auprès de son père Joseph, lui aussi boulanger, et qui tenait l'affaire depuis 1912. Brûlée par les Allemands lors de l'occupation de Maubeuge, la boulangerie avait été entièrement reconstruite par la famille. Camille Lecluyse reprendra la suite avec sa femme, Rolande. La boulangerie-pâtisserie, qui occupait le rez-de-chaussé de l'immeuble, employait au plus fort de son activité 35 personnes.
Il avait reçu la médaille de la ville, en juin dernier
L'îlot Lecluyse, qui figurait sur le tracé Viavil, sera cédé en 2006. Il a été detruit en août 2008. Une démolition spectaculaire et chargée de sens, qui voyait alors Maubeuge tourner la page d'une grande histoire de goût et de gourmandise.
Camille avait transmis cette passion à l'un des ses fils, Guy. On compte ainsi dans la famille Lecluyse trois générations de boulangers.
Camille Lecluyse était aussi connu par son implication dans la vie locale. Que ce soit à la Kermesse de la bière, en son temps, ou lors des Inattendus... «Il était partout », témoigne Jacqueline Bard. Surtout à travers son engagement au sein du comité Jean Mabuse, qui organise chaque année le cortège Jean Mabuse. Il y était entré en 1950, et en avait été le président de 1984 à 2008. Franck Gamez, son successeur à la tête du comité, parle avec émotion d'« un homme simple, qui avait la main sur le coeur. Un homme très discret, humble, courageux et qui nous manquera beaucoup».
Camille Lecluyse était d'ailleurs toujours le président d'honneur du comité. En juin dernier, lors de son dernier cortège Mabuse, il recevait ainsi des mains du maire, Rémi Pauvros, la médaille de la ville, «la plus haute récompense que la ville puisse donner ».
Camille Lecluyse laisse derrière lui sa femme, Rolande, quatre enfants, onze petits-enfants, trois arrière-petits-enfants et de nombreux amis qui pleurent aujourd'hui la disparition d'un homme «humble, courageux, et passionné».
immeuble à logements dit immeuble Lecluyse
Monument historique
| Immeuble à logements dit immeuble Lecluyse Histoire : Cet immeuble a été construit par les architectes Lafitte à une date inconnue. L'immeuble a été endommagé lors du bombardement de mai 1940, mais a été conservé avec les immeubles voisins. |
Aujourd'hui, l'îlot Lecluyse va partir en morceaux - Actualité Maubeuge - Nord
Publié le 19/08/2008 à 04h51
L'avenue de France est bloquée depuis hier matin. Les échafaudages sont en place : pendant un mois, l'immeuble Lecluyse va être découpé, puis « croqué » par une grue.
L'avenue de France est bloquée depuis hier matin. Les échafaudages sont en place : pendant un mois, l'immeuble Lecluyse va être découpé, puis « croqué » par une grue.
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C'est un symbole maubeugeois qui va prochainement disparaître. Dès aujourd'hui, l'entreprise Renard sera à l'oeuvre pour découper les bâtiments. « C'est la phase la plus délicate de l'opération, il ne faut pas abîmer les immeubles voisins, on va donc les séparer », détaillait Charles Catierre, chef du chantier. L'opération de démolition va durer un mois, car après les immeubles proprement découpés, une grue, avec un bras articulé « va croquer le béton au fur et à mesure », expliquait le responsable. Hier, l'entreprise a donc effectué les dernières mesures, vérifié les épaisseurs des dalles de béton.
À terme, il ne restera donc rien de la prestance de ce bâtiment, symbole de l'histoire gourmande maubeugeoise, il laissera place au tracé Viavil entre Maubeuge et la zone de Louvroil. Les Lecluyse « successeur de Liévin », étaient installés depuis 1912 dans ces bâtiments. Après un imbroglio de plusieurs années, la Déclaration d'utilité publique avait fini par être mise en application, les propriétaires quittant l'immeuble il y a un an et demi.
L'histoire en aura finalement décidé autrement pour la maison de l'éclusier, aussi condamné en 2001 mais finalement sauvée par les architectes des Bâtiments de France.
> L'avenue de France restera en impasse jusqu'au 5 septembre.
La Voix du Nord
Pâtisserie Lecluyse

Durant le XVIIIe siècle, des lunettes détachées et un camp retranché provisoire sont construits autour du corps de place. Au XIXe siècle, deux portes sont créées : la porte de Bavay et la porte des Poilus.
La Porte des poilus était située au pied du collège Coutelle et à l'entrée de la rue de l'hospice