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mes arrières grands parents ont tenu cet estaminet en 1922 1923. je ne connais pas maubeuge, je suis ravie de
Par Anonyme, le 26.10.2025
aujourd'hui le o'tacos
http://maubeug eancien.center blog.net
Par maubeugeancien, le 09.10.2025
c'est le monkey factory http://maubeug eancien.center blog.net
Par maubeugeancien, le 09.10.2025
pouvez-vous m'indiquer quel était le nom du café qui a remplacé ce restaurant ? merci
Par Anonyme, le 05.10.2025
mr paillot a été torturé par les nazis à maubeuge dans le petit bois durant la seconde guerre mondiale
Par Anonyme, le 20.07.2025
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Date de création : 05.07.2018
Dernière mise à jour :
28.08.2025
468 articles
Elle était située à l'emplacement du Crédit du Nord actuel et en face de la salle Sthrau et de la Grande Grimpette
La porte de France faisait partie du nouveau plan de fortification de Vauban en 1682. Elle succédait à l'ancienne porte d'Avesnes. Elle était située place de Wattignies. Elle fermée la place de Wattignies limitée par deux casernes.
C'est en 1878 que sera percée la seconde arche pour résoudre les embouteillages dus aux mouvements de cavalerie militaire et voitures hippomobiles.
On imagine l'ampleur et l'organisation défensive de ce bâtiment en le comparant à la porte de Mons. elle fut endommagée par une explosion en1795,elle perdit son toit à la Mansart qui fut réaménagé en plan-terrasse après 1830.Sa façade externes à fronton s'appuyait classiquement sur huit piastres et était précédée d'un pont levis. En 1876on crée un deuxième passage vouté pour faire face à l'essor industrielle de la ville et permettre plus tard le passage du tramways. Elle fut endommagée en 1914 et amputée d'un pont en 1918.pont remplacé par une passerelle provisoire que franchiront de nouveau les troupes allemandes en 1940.le plan de réurbanisation de la ville au sortir de la seconde guerre mondiale la condamnera. Elle sera abattue en 1958. Qu'en reste t'il aujourd'hui? Sur la place Wattignies on peut voir un tracé de pavés,des moignons de pilastres, des rails, deux plaques commémoratives signalent aujourd'hui, au sol , le souvenir de son existence.
source :A travers cents rues, places et lieu-dit (Pierre Henri)
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La percée qui achevait l'actuelle rue Roosevelt s'appelait rue des chamoines sur le cadastre de 1810 et rue Royale sur celui de 1844 ,puis rue de la République en 1887.Bien qu'ouverte sur le chemin de Bavay son prenier nom fut " Salmoncamp".
Elle se situait approximativement à l'intersection de la rue Roosevelt et de la du coutelle
Aux dires du chamoine Lerat : " IL n'y avait rien de pareille à Mons ,ni à Valenciennes . C'était comme une petite citadelle qu'on pouvait garnir avec facilité de dix piéces de canon ".
Elle fut murée en 1676 et détruite deux ans plus tard ,juste avant le traité de Nimègue. Vauban ne la repris pas dans son plan de fortification restreinte.
Mais en 1883 une nouvelle porte fut cependant percée dans le but de faciliter la liaison avec le quartier de Sous le Bois en pleine expansion industrielle .
C'était plutôt en guise de porte un passage à ciel ouvert entre des murs d'appui. La chaussée était comme on peut le voir sur la carte postale à deux voies séparées par un pilier central.
deux pavillons de garde la précédaient du coté ville.
La Porte de Bavay fut abattue en juin 1952.
De chaque coté de son emplacement une Pierre historiée à droite commémore de la délivrance de Maubeuge, le 2 septembre 1944,par la troisième division américaine commandée par le général Rose et les FFI. et à gauche une autre Pierre commémore la délivrance de Maubeuge, le 9 novembre 1918 par la garde Britannique du général Matheson.
source :A travers cents rues, places et lieu-dit (Pierre Henri)


On peut voir à l'horizon le clochet de l'église St Pierre .Nous sommes en 1914.
C'est l'entrée dans Maubeuge par la Sambre en venant d'Hautmont.
MAUBEUGE, PLAISANTE VILLE! (En forme de rondeau du XVéme)
O Maubeuge, plaisante ville
De mon cœur la reine, entre mille
De ton vieux sol bouleversé
Je vois surgir tout un passé
Parmi les émouvants fossiles.
Vieux souterrains garnis de grilles
Colonnes, tombeaux délaissés
Ossements en tas amassés
Tu n’étais donc qu'un peu d’argile
O Maubeuge plaisante ville !
Comble bien vite tes fossés
Que tes beaux immeubles dressés
Parmi ton peuple qui fourmille
Calme mon esprit angoissé
O Maubeuge, plaisante ville.
Henri Boez

Musée Henri Boez ( Conservateur 1934/1972 ) Maubeuge conservateur
Thèmes abordés par le Musée :
Archéologie ; Arts décoratifs ; Beaux-Arts
Thème des collections :
Archéologie nationale (Produits de fouilles locales), Protohistoire, Gallo-romain, Médiéval
Art moderne et contemporain
Arts décoratifs : Céramique (Ferrière-la-Petite), Textiles (Deux tapisseries), Verrerie
Beaux-Arts : Dessin, Estampe et Affiche, Peinture, Sculpture
Civilisations extra-européennes : Africaines (1 objet)
Collections militaires : Armes (1 fusil manufacture de Maubeuge), Uniformes, Armures (Coiffures militaires XVIIIe - XIXe siècle.)
Ethnologie : Mobilier (1 traineau du début XIXe. Quelques meubles XVIIIe - XIXe siècle.)
Musique : Instruments (quelques instruments à vent.),
Historique :
Fondé en 1879 grâce aux dons de mécènes amateurs et installé en 1884 dans un immeuble légué par Mme Fercot-Delmotte, le musée fut entièrement détruit en 1914 et fit l'objet d'une réinstallation dans l'ancienne chapelle du collège des Jésuites. Détruit de nouveau au cours de la seconde guerre mondiale et réaménagé dans les locaux de l'ancien chapître des Chanoinesses, le musée, actuellement fermé pour rénovation, a pris récemment le nom de l'ancien conservateur, décédé en 1972
Vue du musée durant la seconde guerre mondiale


Englobé dans la ville, on a peine à imaginer le moulin à vent autrefois isolé dans la plaine hors des remparts. Par miracle, la tour a subsisté jusqu’à nos jours, et pourtant il y a bien longtemps que la farine ne s’y fait plus. Erigé vers 1799, le moulin a connu plusieurs propriétaires dont les derniers, les Vital Legay père et fils l’occuperont de 1840 environ à 1882 approximativement. Le dernier Vital Legay père, car le fils décédera avant lui, le cédera à la commune tout en en conservant l’usufruit. C’est donc le premier moulin à vent devenu propriété communale. Mais celle-ci ne s’en souciera guère, même si à une certaine époque deux nouvelles ailes postiches ont remplacé les anciennes. En 1928, l’édifice étant placé dans la servitude militaire, la commune sollicite l’autorisation de le restaurer… en supprimant la toiture en poivrière, les ailes et le gouvernail, pour couvrir la tour d’une dalle de béton ou de zinc. Autorisation accordée, mais les travaux ne furent jamais réalisés à part l’enlèvement des ailes, dont le crissement sous l’action du vent empêchait un voisin de dormir !… En 1968, lorsque j’ai dessiné le moulin pour illustrer l’ouvrage « Nos moulins, Flandres-Hainaut-Cambrésis », le gouvernail subsistait seul, appuyé contre la tour envahie par le lierre. La parution du livre en 1971-72 a suscité des articles dans la presse en faveur des moulins, mais rien n’a bougé à Maubeuge. En 1976, le directeur du Centre culturel a bien essayé d’entreprendre une action pour le sauver restée sans lendemain. 1993 sera l’année décisive qui verra le sauvetage du moulin. Un projet important de construction d’un immeuble qui sera occupé en partie par le Conseil Général pour les services de la DASS et d’appartements se concrétise de plus en plus, et la ville sollicite auprès du Préfet l’autorisation de démonter le moulin. Aussitôt, un groupe de personnes se mobilise autour de Didier Vasseur et crée l’Association de sauvegarde du moulin Tablette.
L’ARAM est sollicitée pour faire part de son expérience. L’Association est créée en juillet. En août le permis de démolition est refusé par le Préfet, une demande de l’Association appuyée par l’architecte des Bâtiments de France. Un premier contact de l’Association a lieu en septembre avec la mairie, puis en novembre et les mois suivants toute une série de démarches font progresser les choses. Les plans de reconstruction sont exécutés par l’ARAM en 1994, les premiers travaux sont entrepris la même année, en collaboration avec l’Association Accueil et Promotion et la ville de Maubeuge, puis en 1995 avec la Fédération Compagnonique des Métiers du Bâtiment. La tour est démontée jusqu’à hauteur du premier étage, l’ossature en bois est refaite et installée le 10 juin 1995. Dans le même temps la construction de l’immeuble, qui a été reculé de quelques mètres, mais pas suffisamment, se poursuit. En 1996, la tour est reconstruite. La toiture est réalisée par les Compagnons, à Jeumont, en 1998-99 ainsi que l’arbre-moteur en azobé avec tête à l’ancienne. Le 13 avril 1999 la calotte tournante et la queue sont installées. Les meules, provenant du stock de l’ARAM, sont également placées dans le moulin. Les ailes fabriquées à Cerfontaine, à quelques kilomètres de Maubeuge, métallisées à Seclin, lattées par les charpentiers Peel sont installées le 16 juin. La finition et mise en route des ailes et de la meule se fera en 2000, qui verra donc l’achèvement d’une longue épopée. L’inauguration a lieu le 15 septembre 2000. Caractéristiques techniques Tour de forme tronconique en brique, dont la curiosité réside dans son ossature octogonale en bois englobée dans la maçonnerie. Seul exemple connu à ce jour. La charpente est apparente intérieurement. Les dimensions de la tour sont assez restreintes : hauteur : 8,54 m, diamètre extérieur à la base : 6,15 m et au sommet : 4,04 m. Toiture refaite à l’identique grâce aux nombreuses cartes postales le représentant. Seule la queue a dû être modifiée à cause du bâtiment voisin. Ailes en fer de 19,20 m d’envergure. Une paire de meules.


On peut voir sur la gauche de l'écluse l'entrée des eaux alimentant les deux Moulins.

La maladrerie de Maubeuge fut construite pour répondre à la lèpre que rapportèrent les croisés en Europe lors de leur retour de Palestine au XII ième siècle. Il en est fait mention dans une lettre de Baudouin comte de Flandre donnée en 1192, par laquelle il confirme la transaction faite entre l’église d’Hautmont, d’une part et les ladres de Maubeuge. Il en est fait mention également dans une bulle de 1243 émanant du pape Innocent IV, laquelle met sous protection des apôtres Pierre et Paul les biens et personnes de la maison des lépreux de Maubeuge.
Cet établissement l’hospice Saint – Lazare, était désigné aussi sous le nom de bonne maison de Dieu, d’hospice Saint – Ladre.
C’est le long du chemin de communication entre Maubeuge et Beaufort, à 20 ou 30 toises de la ville que se trouvait la maladrerie. Aujourd’hui on appelle ce endroit le faubourg Saint Lazare.
Incendié en 1470 elle ne fut pas reconstruite, la lèpre ayant disparue. Seule l’église fut rebâtie.
Ci-dessous source de l'article : Gallica



pppo
La première administration communale date du XIIe siècle, est siégée dans un bâtiment appelé « Hôtel de la tour jolie ». Le cartographe Van Deventer la situe en 1550 au front nord du grand marché.
Le 18 juin 1778 pour cause de vétusté il fut décidé par le Conseil d’Etat de la transférer ainsi que la prison, rue du Beghart (Bigart ou même Bigarre)
source :A travers cents rues, places et lieu-dit (Pierre Henri)
Voir plan cadastre 1811

Rue qui deviendra la rue de la Mairie sur le cadastre de 1844.

En 1915 l’administration soit transférée au 7 et 9 rue de la Mairie, puis au 11 rue St Jacques. L’édifice sera détruit en mai 1940.
Une Mairie provisoire sera installée Place Vauban.